Organisation estudiantine/ l’UNEG et l’AASU pour la revalorisation de l’étudiant africain

Depuis son élection le 31 octobre dernier, le nouveau
bureau de l’UNEG ou l’Union Nationale des Etudiants du Gabon gérée par Schadrak
MPAKI ne cesse de mener des actions visant à davantage fédérer ses semblables,
en recherchant les voies et moyens pour que leur statut change : c’est
d’ailleurs ce qui a justifié l’arrivée à Libreville de Peter K. KODJIE le
Secrétaire Général de l’AASU (All-Africa Students Union) ou Union panafricaine
des étudiants.

Faire davantage connaître l’UNEG créée en 2014 et l’AASU née en 1972 : objectif premier de la conférence de presse organisée par l’Union Nationale des Etudiants du Gabon, présidée par Schadrak MPAKI à la salle de réunion de l’USS. Devant un impressionnant nombre de journalistes, le jeune président a présenté les rôles et missions de l’organisation dont il a charge, tout en déclinant les raisons de sa sortie médiatique : « l’Union Nationale des Etudiants du Gabon qui n’est pas forcement connue de tous, et aussi le séjour du de Peter K. KODJIE le Secrétaire Général de l’Union Panafricaine des Etudiants au Gabon. Il s’agit de ces deux structures qui se veulent désormais collaboratrices, de présenter leur vision, leur organisation et pourquoi pas leur action (…) L’UNEG est la structure qui fédère les différentes associations et mutuelles estudiantines du Gabon. Notre vision consiste simplement à défendre l’intérêt de l’étudiant Gabonais ». En définitive, l’UNEG a pour rôle, de gérer les problèmes de bourse, de résidence universitaire et de formation. Autre point majeure de ces retrouvailles, le 9^ème sommet panafricain de la jeunesse et des étudiants dont les travaux se feront en ligne du fait de la covid-19. Mais pour la dixième édition, la candidature du Gabon pour en être l’hôte de la 10^ème édition est sollicitée. L’invité spécial de l’UNEG Peter K. KODJIE le Secrétaire Général de l’Union Panafricaine des étudiants arrivé au Gabon depuis trois semaines, a su apprécier le travail abattu par ses paires : « j’ai eu l’occasion de travailler avec les mutuelles des quatre grandes universités du Gabon. Ce sont des jeunes qui sont engagés et qui veulent arrimer le style gabonais aux standards internationaux ». La rencontre était chaleureuse et sous peu, Peter K. KODJIE devra retourner dans son Ghana natal, avec un souvenir du Gabon, une sculpture de la carte du pays.

Juliette BAYARD

Share on facebook
Facebook
Share on twitter
Twitter
Share on linkedin
LinkedIn
Share on whatsapp
WhatsApp