Que de dérapages constatés par l’UIS Publics dans le
système éducatif gabonais. En effet, l’Union Internationale des Services
Publics et assimilés a observé pour le déplorer, que le ministère de l’éducation
nationale centralise tous les services et serait devenu plus commerçant qu’éducateur.
Beaucoup de griefs contre le ministère de l’éducation nationale qui aux dires d’Emmanuel MVE MBA, Vice-président de l’UIS Publics (l’Union Internationale des Services Publics et assimilés), par ailleurs Responsable de l’entreprise Encadrement plus, dont la mission est la prévention des violences en milieu scolaire et donc, la sécurisation desdits lieux. ce défenseur des droits de l’Homme au cours du point de presse tenu le jeudi 21 janvier à son siège, a pointé un doigt accusateur au ministère de l’éducation nationale : « le ministère de l’éducation nationale préfère mettre en exergue l’expérimentation des enseignements en éducation sexuelle complète dans les établissements », tout en s’accaparant des cotisations des parents d’élèves car, « le recouvrement de la cotisation parentale en lieu et place des APE est procédé par les services du ministère de l’éducation nationale et celui-ci donnerait un montant annuel de 140 510 000 000 de francs CFA ». L’indignation s’est poursuivie au point de relever que l’achat des uniformes scolaires est imposé et centralisé au ministère qui engrangerait la bagatelle somme de 11 220 000 000 francs CFA. Là où le bas blesse, « la commercialisation des inscriptions scolaires tant au premier qu’au second degré à raison de 3 000 ; 5 000 et 10 000 francs en fonction du niveau … tout ceci fait renter 2 072 993 000 francs CFA ».
Comme si cela ne suffisait pas, la sécurité en milieu scolaire semblerait peu préoccuper la tutelle selon Jacques NGOUA NDONG, l’un des Vice -président du conseil national des parents d’élèves : « au lieu que les jeunes formés pour la sécurité dans les établissements et leurs abords soient affectés sur le terrain pour résorber le chômage, c’est plutôt une milice qui y est déployée et menace nos enfants ».
Pour mettre un terme à cet amalgame, l’intervention du Chef de l’Etat est sollicitée, mais en attendant, une plainte va sans délais, être déposée auprès de la DGDI et à la DGR, contre le ministère de l’éducation nationale; a rassuré Emmanuel MVE MBA.
Juliette BAYARD
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