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C’est un époux, un
père, un chef de famille, un comédien et Agent des forces de sécurité. Son
prénom il l’a souvent gardé dans ses films : vous l’avez compris, il
s’agit du grand Douglas TAGA-TAGA né le 21 septembre 1978 de Jean-Claude
TAGA-TAGA un ressortissant du haut Ogooué et de feue Angélique MBOUMBA KOUMBA
de la Ngounié. Son enfance n’aura pas été facile mais, notre invité a su saisir
les opportunités pour devenir l’homme respectable qu’il est aujourd’hui. Nous
vous invitons à sa rencontre.
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« Je suis né le 21 septembre 1978 à 12 heures 15 minutes j’ai été élevé par ma mère. Mes parents n’ont jamais vécu ensemble. Ils travaillaient à moins de 200 mètres l’un de l’autre : mon père travaillait à la prison centrale et ma mère à Soveman l’actuel MGV, ce qui a facilité leur rencontre et leur relation. Mon père étant déjà marié mais sans enfant, il demandé à ma mère de lui faire un enfant et une fois enceinte, ma mère heureuse, a annoncé la nouvelle à mon père qui a refusé d’assumer. Il proposa alors à ma mère d’interrompre la grossesse ce qu’elle refusa et c’est comme ça que je suis né. Mon père sera aussitôt informé par le canal de ses frères et amis, il sera très content d’avoir enfin eu un enfant mais il ne va pas assumer ses responsabilités car il remettra un chèque de 25 000 francs CFA (une somme colossale à l’époque) à ma mère mais arrivé à la banque, mon oncle apprendra que le chèque qu’il était allé toucher était sans provisions et mon père s’était volatilisé : ma mère m’a donc élevé toute seule.
J’ai commencé les études très en retard, j’avais neuf ans c’était en 1987 et j’ai fait mes premiers pas à l’école publique de Sibang où j’avais obtenu l’entrée en sixième et mon père va réapparaître pour me réclamer auprès de ma mère qui n’a pas refusé, sachant qu’une fois grand, je le chercherai. Une fois chez mon père au quartier Mindoubé, son épouse qui n’avait pas d’enfant va vite m’adopter et décidera de me garder avec elle. Mais mon père prendra une deuxième épouse originaire de la même contrée que ma mère. Une situation qui va offusquer la première épouse de mon père qui décidera alors de se séparer de moi. Imaginez la vie d’un enfant qui vit chez son père qui a deux épouses et donc aucune n’est sa mère ! Voilà de manière ramassé les raisons qui ont fait que je ne réussisse pas dans les études, étant à cheval entre mon père et ma mère. Je me suis retrouvé à Franceville chez mon père, j’ai été chez mon oncle qui vivait dans les plateaux Batékés qui m’avait inscrit à la Fondation Ayatchou de Franceville où j’ai fait mon cycle secondaire. En 1997 comme mes études trainaient le pas, mon père va introduire mon dossier à la sécurité pénitentiaire pour faire de moi un fonctionnaire, et le 30 juillet 1998, je suis appelé pour une formation de Gardien de Prison et cette formation va durer neuf mois. Au sortir de cette dernière, je suis affecté à la prison centrale de Franceville où je vais faire mes classes ; en 2001, je suis affecté à la prison centrale d’Oyem et lorsque je quitte la prison centrale d’Oyem, je suis affecté à Libreville ».
Ses débuts dans le cinéma :
« Je commence à m’intéresser au cinéma en 2004. J’étais devant le poste téléviseur, je regardais Van MABADI alias Bradock qui annonçait un casting à l’ancienne RTG. Je vais participer à ce casting et je serai retenu pour le compte de Magic Pictures (Magic YOUNGOU) nous allons tourner le premier épisode de la série Cap Estérias dans les années 2004-2005. J’ai depuis lors, tourné beaucoup spots de sensibilisations…Van MABADI va ensuite créer sa structure appelée « les Révélateurs » avec le concept Gabon d’abord ; et j’avais toujours été mis au premier plan, ce qui a fait que je sois beaucoup vendu et connu du public Gabonais. A la suite d’autres castings, on a recruté Willy APANGA, Léo ONGUITHI et après, on s’est séparé et je ma suis retrouvé au studio Montparnasse de Melchy OBIANG où j’ai tourné dans la série Kongossa, et nous sommes allés avec Jessy ONKRA qui a créé Udyle Corporate ; enfin, j’ai tourné avec Divine Production de Sosthène NGOKILA (Ambassadeur du Gabon au Canada). J’ai déjà à mon actif 4 à 5 longs métrages et pas moins de 10 séries ».
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Ses Projets :
« Je projette de créer ma propre structure en plus du fait que je suis en train d’écrire un livre (ma biographie) depuis dix ans. Je suis aussi sur le projet de deux séries télévisées et deux longs métrages : je suis sur les synopsis. En Afrique nous sommes riches, il suffit de savoir lire et écrire c’est d’ailleurs pourquoi les écoles pour adultes ont été créées. Pour réaliser ces projets, il faut le nerf de la guerre et le matériel. J’ai les idées, les ressources humaines sont disponibles, j’ai de l’expérience en art dramatique, je peux coacher mes acteurs. Il suffit de croire en soi pour réussir comme l’a fait Gohou, le comédien Ivoirien ».
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Le rêve de douglas : Krist Paul TAGA-TAGA son fils footballeur
« Krist Paul TAGA-TAGA est mon fils. Il est footballeur et évolue en France. Il a débuté au club de Beauvoir à Niort et est actuellement dans la ville d’Oma à la recherche d’un club. Il est pétri de talent ; c’est un parfait ailier droit, il a 17 ans et poursuit ses études. Mon plus grand rêve est de le voir réussir dans sa carrière de footballeur, et le voir jouer dans la sélection nationale des panthères du Gabon : ce serait ma plus grande fierté et je sais que cela se fera ».
Douglas est légalement marié, père de nombreux enfants. Il a un défaut, « je parle beaucoup» et il aime beaucoup les voyages. A table, il affectionne les asperges à la boite de sardine (Mikand en Ipunu) et (Ekana en Téké) accompagnées de taros et d’une Regab bien fraîche si le vin de palme de qualité cueilli en sa présence fait défaut.
Son anniversaire est passé il y’a juste 24 heures (le 21 septembre), souhaitons à Douglas un happy birthday et plein succès dans ses entreprises.
Propos recueillis par Juliette BAYARD
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