C’est Pascal Houagny Ambouroue le ministre Gabonais de la Communication qui a personnellement ouvert les travaux de la célébration de la journée de la liberté de la presse en République gabonaise sous le thème retenu par l’UNESCO, « le journalisme sous l’emprise du numérique ».
Pour son allocution circonstancielle, le patron de la communication s’est refusé de discourir, mais a parlé avec le cœur, faisant remarquer que l’avènement de la digitalisation des médias est la source de bon nombre de dérives dans la profession et que le Chef du gouvernement Rose Christiane Ossouka Raponda tient à ce que le ménage soit fait dans la maison.
Toutefois, il a fait remarquer que « conformément aux dispositions de l’article 3 du code, toutes les formes de communication sont libres en République gabonaise sous réserve du respect de l’ordre public », a précisé Pascal Houagny Ambouroue et comme pour justifier ses propos, un bilan à mi-parcours a été dressé, présentant pour l’exercice 2022, zéro journaliste engagé tué ; zéro journaliste tué et zéro journaliste emprisonné, chiffres hissant le Gabon au 105ème rang mondial selon « Reporters Sans Frontières ».
Toutefois si les délits de presse ont été dépénalisés depuis 2016, il n’en demeure pas moins que les hommes et femmes de médias attendent toujours un peu plus des pouvoirs publics notamment, en ce qui concerne le plan de carrière ; la subvention des médias ; un statut particulier à accorder à la carte nationale de presse comme on a pu voir au chapitre des recommandations.
Revenant sur la célébration proprement dite, des conférences avec des thèmes enrichissants à l’exemple de « la transparence comme bien public face à la responsabilité du journaliste » ; « la digitalisation, un impératif pour la viabilité des médias » respectivement animées par le Pr Anaclet Ndong Ngoua et Jude Missengue Miviessini, Directeur de la Promotion des Services Numériques.
Clôturant les travaux au nom de Pascal Houagny Ambouroue le ministre de la Communication, Hermine Otounga Souna la Directrice de la Communication a fait observer une particularité : « l’enjeu aujourd’hui est de garantir la viabilité des médias d’information et la pratique de du vrai journalisme dans le contexte de digitalisation […] les pouvoirs publics que je représente ici sont conscients de ces enjeux », a-t-elle expliqué.
Au-delà des recommandations, des promesses aussi : « nous comptons accélérer la réflexion sur la mise en application d’un fonds d’aide et de soutien à la Communication et à la cinématographie », a ajouté la Directrice de la Communication, tout en rappelant que les « secteur des médias se prépare à affronter les échéances électorales qui s’annoncent pour l’année 2023 », une occasion pour les acteurs de ce corps de métier, d’exprimer leur savoir-faire dans le respect des règles et de la déontologie.
Juliette Bayard
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