Le Maire de Libreville engage le toilettage des voies secondaires

Léandre Nzue en
personne, en tenue appropriée sur le terrain pour s’attaquer au mauvais état
des voies secondaires de la commune de Libreville. Le premier magistrat de Libreville a décidé de réaménager les voies
secondaires de sa circonscription, pendant que le 4^ème Maire Adjoint
lui, avait mandat de fermer des garages anarchiques.

Après le curage des caniveaux dans certaines zones « névralgiques » de la capitale, c’est aux routes secondaires d’être témoins de la descente de Léandre Nzue sur le terrain. L’opération est prévue durer deux mois, deux mois au cours desquels les voies secondaires devront faire peau neuve. Les premiers bénéficiaires sont Plaine Orety et Dragages de Nzeng- Ayong où, des engins étaient à pied d’œuvre, raclant et nivelant ce qui restait desdites routes sous l’œil vigilant de l’édile de Libreville qui a exprimé ses motivations « vu l’état de dégradation des voies secondaires, nous profitons de la saison sèche et des engins lourds que nous avons pour le faire : c’est la preuve que l’Etat et les commune font les efforts pour améliorer les conditions de vie ».

Le démarrage de ces travaux est une source de satisfaction pour les usagers qui d’ores et déjà, caressent le vœu de voir la fin de leur calvaire qui à chaque saison pluvieuse, s’aggravent un peu plus avec la boue ; les lacs artificiels et des kilomètres à parcourir à pieds à moins de doubler voir tripler la mise pour avoir un autre moyen de locomotion. L’on se souviendra que le problème des voies secondaires a toujours été une épine sous le pied des populations qui se sont toujours demandées à qui incombait la responsabilité de leur réhabilitation bref, de leur entretien?

L’hôtel de ville est résolu à mettre un terme à l’anarchie sur le domaine municipal et pour passer de la parole à l’acte, le 4^ème Maire Adjoint Karim Nziengui sous l’impulsion de sa hiérarchie, a procédé à la fermeture des garages anarchiques ; le cas de celui de Michel Marine, non sans expliquer au gérant, la nécessité de ce déguerpissement se résumant notamment les conditions à respecter pour maintenir ce type d’activité sur le domaine communal.

Les autres sont invités à se raviser pour ne pas subir le même sort, l’image de la ville en dépend et sur ce point, Léandre Nzue se veut intransigeant.