avec les médicaments que le Gabon a choisi à savoir les antibiotiques et l’hydroxyle-chloroquine, mais sa situation continue de se dégrader. Puisque le Gabon est une zone de chloroquino-résistance, le malade peut continuer à faire de la fièvre parce que son paludisme n’est pas sensible à hydroxyle-chloroquine et là, il faut rapidement chercher à savoir si ce n’est pas un paludisme associé à la Covid-19 ».
Face à cette réalité, la lutte contre le paludisme doit davantage être intensifiée mais pour cela, « il faut que nous disposions de bonnes informations détaillées comme on les a pour la Covid-19 en vue d’être efficace, tout en renforçant les mesures barrières certes, mais la moustiquaire imprégnée peut aussi être promotionnée dans le cadre de la barrière, car même si le moustique ne transmet pas la Covid, il transmet la mort », a souligné le Directeur du PNLP.
La Covid-19 et le paludisme ont des similitudes au niveau des signes cliniques. De ce fait, pour rendre la riposte et la lutte plus efficaces, le comité de pilotage Covid-19 et le PNLP doivent travailler en synergie.
Juliette BAYARD
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