12.00
Normal
0
21
false
false
false
FR
X-NONE
X-NONE
MicrosoftInternetExplorer4
/* Style Definitions */
table.MsoNormalTable
{mso-style-name: »Tableau Normal »;
mso-tstyle-rowband-size:0;
mso-tstyle-colband-size:0;
mso-style-noshow:yes;
mso-style-priority:99;
mso-style-qformat:yes;
mso-style-parent: » »;
mso-padding-alt:0cm 5.4pt 0cm 5.4pt;
mso-para-margin-top:0cm;
mso-para-margin-right:0cm;
mso-para-margin-bottom:10.0pt;
mso-para-margin-left:0cm;
line-height:115%;
mso-pagination:widow-orphan;
font-size:11.0pt;
font-family: »Calibri », »sans-serif »;
mso-ascii-font-family:Calibri;
mso-ascii-theme-font:minor-latin;
mso-fareast-font-family: »Times New Roman »;
mso-fareast-theme-font:minor-fareast;
mso-hansi-font-family:Calibri;
mso-hansi-theme-font:minor-latin;}
Vous vous souviendrez
de Marie-Thérèse Ilabou, cette Gabonaise d’une
cinquantaine d’années malade et abandonnée à son triste sort avec pour
seul soutien, son jeune bailleur qui lui avait cédé une chambrette à Akournam.
Son état devenant critique, notre confrère Gabon première a diffusé un
reportage dont les images et le texte ont profondément interpelé l’ONG SOS AVC de
Aimée Délia Bilouni épouse Ndjaly qui s’est mobilisé pour que la prise
en charge médicale et psychologique de cette dame soit effective.
12.00
Normal
0
21
false
false
false
FR
X-NONE
X-NONE
MicrosoftInternetExplorer4
/* Style Definitions */
table.MsoNormalTable
{mso-style-name: »Tableau Normal »;
mso-tstyle-rowband-size:0;
mso-tstyle-colband-size:0;
mso-style-noshow:yes;
mso-style-priority:99;
mso-style-qformat:yes;
mso-style-parent: » »;
mso-padding-alt:0cm 5.4pt 0cm 5.4pt;
mso-para-margin-top:0cm;
mso-para-margin-right:0cm;
mso-para-margin-bottom:10.0pt;
mso-para-margin-left:0cm;
line-height:115%;
mso-pagination:widow-orphan;
font-size:11.0pt;
font-family: »Calibri », »sans-serif »;
mso-ascii-font-family:Calibri;
mso-ascii-theme-font:minor-latin;
mso-fareast-font-family: »Times New Roman »;
mso-fareast-theme-font:minor-fareast;
mso-hansi-font-family:Calibri;
mso-hansi-theme-font:minor-latin;}
Marie-Thérèse Ilabou victime d’un Accident Vasculaire Cérébral en 2013, a fait une récidive qui a failli l’amener sous terre. Cette commerçante devenue invalide et sans revenu n’aura eu la vie sauve que grâce à la solidarité d’un jeune homme qui après lui avoir cédé une « chambrette » alors qu’elle était à la belle étoile, se fera le devoir de nettoyer la malade après qu’elle ait fait ses besoins sur place. La Solidarité agissante, le reportage de Gabon Première aura été le déclic pour l’ONG SOS AVC dont la Présidente Aimée Délia Bilouni épouse Ndjaly, elle aussi victime d’un AVC il y’a quelques années, accompagnée de son Secrétaire Général David EYI et de son chargé des Bénévoles Trey Rodney Joumas ont décidé d’agir, en conduisant l’infortunée dans une structure de soins pour sa prise en charge. Et pour s’assurer que cette dernière est désormais entre de bonne mains, « Nous nous sommes rendus au chevet de notre compatriote Marie Thérèse ce soir à la Clinique de l’Espoir et de L’Espérance située à Owendo pour nous enquérir de l’évolution de sa santé mais surtout nous assurer de sa prise en charge effective comme la direction Générale de la clinique nous l’avais garanti », dira Aimée Délia Bilouni épouse Ndjaly, avant de poursuivre, « C’est un avec un sourire que Marie Thérèse nous a informé qu’elle était traitée aux petits soins et que plusieurs examens lui ont été pratiqués gracieusement pour que les médecins déterminent le protocole médical afin de lui administrer le traitement adéquat. Gloire à Dieu, Marie Thérèse est aujourd’hui entre de bonnes mains. Merci infiniment à la Clinique Chrétienne de l’ Espoir et de l’Espérance qui a répondu à notre cri de détresse sur la page Facebook de SOS AVC. Une politique sociale bien organisée afin d’aider les indigents. Que le Seigneur qui guide leurs actions chaque jour, continue d’augmenter leur foi pour que la guérison des différents malades demeure leurs sources de motivation. Cette opération qui rentre dans le cadre des missions de notre ONG nous convainc de continuer à œuvrer pour leur réinsertion dans la société pour les victimes d’AVC qui nous sollicitent ».
En attendant, des démarches en vue d’établir une carte d’assurance maladie et de garantie sociale sont lancées, et les résultats des différents examens médicaux attendus. Marie-Thérèse est encore hospitalisée certes, mais le souhait est qu’elle puisse redevenir autonome et pouvoir se prendre en charge. Pour cela, l’assistance des services publics compétents pour lui permettre de se reloger décemment est nécessaire, à moins qu’une solidarité se constitue autour d’elle pour y parvenir : ainsi, SOS AVC aura accompli sa mission.
Juliette BAYARD
Share on facebook
Facebook
0
Share on twitter
Twitter
Share on linkedin
LinkedIn
0
Share on whatsapp
WhatsApp
