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Le ton est monté d’un cran
ce mardi 20 octobre à la direction générale des impôts sise à Oloumi, à
l’occasion de l’Assemblée Générale de prise de décision des régies financières.
Il a été question pour les partenaires sociaux réunis au sein de la FECOREFI (Fédération
des Collecteurs des Régies Financières) et
assimilés, de faire le point de l’état d’avancement de leur cahier de charges,
déposé sur la table de la tutelle depuis un peu plus de trois mois. Les lignes
n’ayant pas bougé, c’est la grève générale et illimitée.



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C’est un déferlement de mouvements de revendications depuis quelques semaines au Gabon, l’administration et autres services de la fonction publique ont du plomb dans l’aille. En effet, après la fonction publique et assimilés il y’a 48 heures, ce sont les régies financières qui sont passées à l’action ce 20 octobre. Leur mécontentement naît d’un fait longtemps décrié, « Les points d’achoppement sont : la publication des résultats des audits effectués en 2018 qui ont démontré que l’Etat payait plus qu’il n’en fallait ; la régularisation des situations administratives ; nous avons certains collègues qui sont morts après avoir passé dix ans de service sans être intégrés à la fonction publique : il y’a des problèmes dans les régies financières et nous devons les gérer ». Or il se trouve que toutes les démarches entreprises par les partenaires sociaux ont toutes accouché d’une souris : un mutisme, mieux un silence jugé coupable par la FECOREFI, qui par la voix de Sylvain OMBINDHA TALHEYWA III, le Secrétaire Général et porte-paroles des Collecteurs des Régies Financières s’est offusqué, « nous reprochons au gouvernement son silence méprisant. Les partenaires sociaux ne peuvent pas représenter l’ensemble des agents, poser des revendications sur leur table durant trois mois, même pas un whatsapp ; ce mépris est inadmissible. Lorsqu’on est dans un partenariat, on se respecte et dans le partenariat, un engagement demeure un engagement».
Face à la base, le bureau exécutif de la FECOREFI est tenu de se soumettre, et par le canal d’un vote à mains levées, la décision est irrévocable car dira le Porte-paroles, « le vote auquel vous avez assisté et à l’issue duquel la base s’est fortement mobilisée, a décidé fermement que nous restons en grève générale et illimitée. Donc le mot d’ordre est de durcir ce mouvement, et tous les bureaux seront fermés dès demain mercredi ».
Déterminés à avoir gain de cause, les Agents des Impôts ; ceux de la marine marchande ; du trésor bref, toutes les régies financières scandaient à l’unisson, « trop c’est trop, plus jamais ça ». Affaire à suivre.
Juliette BAYARD