Le différend entre le journaliste d’investigation Stive Roméo MAKANGA et l’ex Vice Président de la République Pierre Claver MAGANGA MOUSSAVOU, devenu une affaire d’Etat, pourrait enfin trouver son épilogue le 3 février prochain avec la décision de justice : information rendue publique ce 22 janvier à la faveur d’une conférence de presse au siège du CPPPL.
« Kévazingogate: Maganga Moussavou, chef de gang » c’est le titre de l’article publié sur la mystérieuse disparition de 353 conteneurs du précieux bois dénommé kévazingo. Depuis la publication de ces révélations dans le journal en ligne Kongossanews, révélations qui auraient couté à l’ancien Vice-président de la République, son prestigieux poste, le Journaliste et Directeur de publication Stive Roméo MAKANGA n’a plus eu de paix : des intimidations, violences psychologiques et convocations ayant abouties à une audience au tribunal correctionnel de Libreville. En plus, le plaignant exige du journaliste, le versement de la colossale somme de 950 millions de francs CFA après avoir purgé une peine d’emprisonnement ferme. Une peine à laquelle tient l’homme politique qui « n’a cessé de marteler qu’il serait la grande victime d’un vaste complot ourdi contre sa personne et dont Brice LACCRUCHE ALIHANGA, l’ancien directeur de cabinet du Chef de l’État serait l’instigateur », selon notre confrère qui s’interroge : « Si Pierre Claver MAGANGA MOUSSAVOU est si convaincu comme il l’a affirmé devant le juge, que l’ancien directeur de cabinet du Chef de l’État serait le grand manœuvrier, pourquoi n’avoir pas porté plainte contre ce dernier? Pourquoi avoir pris le Journaliste Stive Roméo MAKANGA pour cible, alors qu’une comparution forcée de Brice LACCRUCHE ALIHANGA a été demandée au président du Tribunal de première instance de Libreville, lors de l’audience du 21 janvier 2021 » ?
Au regard des faits, Stive Roméo MAKANGA tout comme beaucoup d’observateurs, peuvent comprendre que « l’ancien vice-président conteste sans le dire ouvertement, la décision du chef de l’État. Il a en tête un adversaire, et se sert d’un « petit » journaliste dans une affaire dont lui seul connait les profondeurs ». Le code de la communication encadre la pratique du métier de journaliste ; et le 3 février prochain, la corporation attend de pieds fermes, « l’acquittement » du journaliste MAKANGA.
Juliette BAYARD
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