En ouvrant la participation de l’opposition gabonaise, sans exclusive même la plus virulente à son régime, aux travaux de la Concertation politique dont il en est l’initiateur, malgré quelques réticences de maitres-chanteurs les plus connus de la place par leur algorithme habituel, le Président de la République Ali Bongo Ondimba a, une fois de plus, exprimé sa volonté de préserver la paix et la concorde dans le pays.
Partisan d’un dialogue unificateur et constructif autour de ce qui doit changer le visage sociopolitique du Gabon, le chef de l’État, Ali Bongo Ondimba, a parfaitement démontré, depuis son avènement à la magistrature suprême, son ambition légendaire que faire du Gabon une nation émergente, passe nécessairement par des réformes sociétales qui exigent la mise en place des cadres de concertation et de dialogues publics proactifs, pour prospecter et anticiper sur le terrain politique et social, afin d’apporter aux populations des solutions efficaces à leurs attentes.
Cette volonté du Président de la République, garant de la stabilité du pays, de réformer le processus électoral tout en développant la concertation ou le dialogue politique autour des vraies questions de fonds en matière électorale doit aboutir sur des conditions propices en vue d’aboutir sur des consultations populaires apaisées aux lendemains électoraux tout aussi meilleurs. (…) Afin que la paix et la concorde, sans lesquelles aucun développement n’est possible, continuent de régner », a préciser Ali Bongo Ondimba.
En effet, les avancées de la démocratie s’inscrivent dans le mouvement du monde et de ses évolutions. Et la volonté d’Ali Bongo Ondimba, aujourd’hui est de faire évoluer cette démocratie gabonaise dans son pays. Le contexte dédié à la concertation politique convoquée par le chef de l’État et surtout de ses orientations devant les représentants des partis politiques ont légitimé le devoir pour chacun des citoyens de cultiver la paix.
Une légitimation de l’initiative personnelle du président de la République qui a « entendu l’appel de ses compatriotes, notamment les acteurs politiques de la majorité et de l’opposition, demandant l’organisation d’une rencontre pour définir les bases de la préparation des scrutins électoraux aux lendemains apaisés ».
Par Thierry Mocktar